Chaque année, les talents de D1 Arkema parviennent à s’exporter à l’étranger, dans tous les championnats du monde. Angleterre, Espagne, Italie, voire des championnats plus exotiques comme les Etats-Unis, les anciennes joueuses de D1 Arkema se retrouvent partout. Le Sport au Féminin vous propose de faire un retour sur quelques joueuses qui évoluent du côté de l’étranger. Où en sont-elles, qui sont-elles ? Retour sur ces anciennes qui ont brillé au sein du championnat de France il y a quelques années.
SuperLeague, League A, Serie A, NWSL… Les anciennes de D1 Arkema se retrouvent de partout en Europe et même ailleurs, on peut notamment penser aux anciennes de l’OL, Eugénie Le Sommer, Sarah Bouhaddi et Dzsenifer Marozsán qui sont du côté de l’OL Reign. On peut également évoquer les cas de Lucy Bronze, Alex Greenwood, Aïssatou Tounkara ou encore les Françaises Hawa Cissoko ou Kenza Dali.
Un exil américain réussi pour les anciennes du championnat de France !
Il y a un an, la NWSL accueillait de nombreuses anciennes joueuses de D1 Arkema. Tout d’abord, du côté de l’OL Reign. Ce n’est pas moins de trois joueuses de l’OL qui ont posé leurs valises dans l’Etat du Tacoma. Sarah Bouhaddi par exemple est devenue le dernier rempart du nouveau club filière de l’Olympique Lyonnais aux Etats-Unis. Et l’internationale tricolore est performante. En 23 journées, l’OL Reign n’a encaissé que 24 buts, soit à peine un but encaissé par match.
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En plus de Sarah Bouhaddi, Eugénie Le Sommer et Dzsenifer Marozsán sont également arrivées aux USA depuis la France. Et l’ancienne attaquante de l’OL a d’ores et déjà trouvé ses marques puisqu’elle a disputé seize rencontres avec l’OL Reign pour cinq buts inscrits et trois passes décisives distillées. La milieu allemande a elle un peu plus de mal à peser sur les rencontres de son équipe. Malgré dix-huit rencontres déjà disputées, l’ancienne de Francfort n’a toujours pas fait trembler les filets. Elle a toutefois distribué quatre passes décisives.
D’autres anciennes joueuses de D1 Arkema évoluent également du côté de l’OL Reign. C’est notamment le cas de l’ancienne défenseure du PSG, Alana Cook ou de l’ancienne gardienne de but du Stade de Reims, l’Américaine Phallon Tullis-Joyce. La Galloise Jessica Fishlock, qui avait disputé vingt rencontres avec l’OL, évolue également du côté de Tacoma. Elle a disputé 22 rencontres avec le club américain pour cinq buts et quatre passes décisives.
Une Women’s Super League à l’accent français
Plus proche de nous que les Etats-Unis, nombre d’anciennes joueuses de D1 Arkema évoluent également du côté du championnat anglais. Premier du championnat avec cinq victoires en autant de rencontres, Arsenal peut notamment compter sur l’ancienne lyonnaise Nikita Parris en attaque. Pourtant, l’internationale anglaise n’a toujours pas réussi à trouver le chemin des filets ni même à distiller aucune passe décisive.
Du côté de Manchester, elles sont également nombreuses. Du côté des Skyblues de Manchester City par exemple, on peut noter la présence de l’ancienne gardienne du Paris FC, Karima Benameur. Même si elle n’est pas titulaire, l’internationale française (5 sélections) évolue à City depuis 2019.
Chez Manchester City, les latérales ont un goût de déjà-vu pour les suiveurs de la D1 Arkema. Puisque les latérales gauche et droite des Cityzens sont actuellement les deux anciennes de l’Olympique Lyonnais, Alex Greenwood et Lucy Bronze. Si Lucy Bronze n’a toujours pas joué puisqu’elle est en délicatesse avec son genou droit, Alex Greenwood est régulièrement titulaire avec l’équipe mancunienne puisqu’elle a disputé cinq rencontres pour deux passes décisives.
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Pour les Françaises, on peut notamment citer la défenseure Cissoko qui évolue du côté de West Ham ou encore la milieu de terrain internationale tricolore qui joue pour l’équipe d’Everton. L’ancienne Parisienne est d’ailleurs titulaire, puisqu’elle a déjà pris part à près de cinq rencontres de Women’s Super League. Le championnat de France est donc bien représenté en Angleterre !
Le Sud plaît également !
Après les Etats-Unis et le Nord de l’Europe, le Sud, et notamment l’Espagne, attire également les anciennes joueuses de D1 Arkema. Chez les leaderes du classement espagnol, le FC Barcelone, on peut noter la présence de l’ancienne capitaine du Paris Saint-Germain, l’internationale ibère Irène Paredes. Avec six matchs disputés pour un but inscrit, la native de Legazpi est l’une des meilleures défenseures centrales du championnat espagnol.
Du côté de Valence, et plus précisément de Levante, l’internationale française Sandie Toletti semble s’épanouir pleinement. La milieu de terrain tricolore évolue au club depuis 2020. Et elle semble pleinement avoir trouvé sa place chez les Granotes. Cette saison, elle en est déjà sept rencontres disputées pour deux buts et trois passes décisives. De bonne augure pour le futur de l’équipe de France !
En Italie aussi, on peut trouver d’anciennes joueuses du championnat de France. Du côté de la Juventus par exemple, on retrouve d’ores et déjà la gardienne internationale Pauline Peyraud-Magnin. L’ancienne de l’Atletico n’est toutefois pas toujours titulaire puisqu’elle n’a disputé que deux rencontres cette saison. L’ancienne Montpelliéraine Linda Sembrant et l’ancienne Parisienne Annahita Zamanian évoluent également de l’autre côté des Alpes !